Contentons-nous de faire réfléchir
N'essayons pas de convaincre
Georges Braque
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Ah, les mauvaises habitudes...
Voici un sujet qui généralement nous fâche quelque peu, car dieu sait si nous en avons toutes et tous de mauvaises habitudes. Et qui dit "habitudes", dit "réflexes" qu'il va falloir reprendre en main afin de s'en débarrasser !
Mais peut-être êtes-vous en train de vous dire : « Qu'est ce qu'une mauvaise habitude lorsqu'il s'agit de perdre du poids ?! ». Ou peut-être encore, allez-vous avoir l'impression de n'avoir QUE de mauvaises habitudes, que celles ci soient alimentaires ou autres ?
Pas de panique, nous allons poursuivre le chemin ensemble afin d'éclaircir tout cela.
Voici pour commencer, une liste non exhaustive de mauvaises habitudes, alimentaires ou autres, dont d'ailleurs nous avons déjà évoqué certaines par ailleurs :
C'est sans contestation possible, la pire de nos habitudes. Que ce soit par ennui, stress, tradition, envie ou pour tout autre raison, nous sommes de plus en plus d'humains à grignoter tout et n'importe quoi, à n'importe quelle heure du jour, voire de la nuit ! Et cette très mauvaise habitude n'est pas sans conséquences néfastes pour notre ligne et notre santé...
La première conséquence négative de ces grignotages incessants, c'est qu'en règle général on ne va pas manger quelque chose de bon à notre santé. En effet, dans la plupart des cas on va choisir un aliment "plaisir" comme par exemple : des bonbons, des cacahuètes, des biscuits, des chips, des gâteaux, des sodas, de la cochonnaille, du chocolat, etc... Or, il se trouve que la plupart des ces aliments "plaisir" n'ont, non seulement, que peu d'intérêt pour le bon fonctionnement de notre corps et de notre esprit, mais qu'en plus ils sont pour la majorité d'entre eux extrêmement caloriques. Aussi, si en manger de façon raisonnable et occasionnelle ne pose aucun problème : en "grignoter" à longueur d'année, peut très vite devenir une catastrophe pour notre ligne et plus encore notre santé.
La seconde conséquence négative, c'est que cela oblige notre estomac à fonctionner en quasi permanence. D'où une réaction immédiate et directe : la baisse de notre énergie !! Car toute l'énergie dont notre corps a besoin pour la digestion, c'est autant d'énergie qu'il nous "pompe" sur nos autres activités quotidiennes ! Par conséquent, ne vous étonnez plus, si l'une des toutes premières conséquences d'un poids excessif, c'est la fatigue générale ! Beaucoup de personnes pensent qu'un petit bonbon par ci, ou qu'un petit en-cas par là, ne demandent aucun effort à notre corps. C'est faux ! Que vous avaliez un plat de nouilles ou un biscuit, il faudra bien que l'estomac et tout le système digestif s'en occupe. Or, plus vous mangez d'aliments sucrés ou gras -- comme cela est le cas dans la plupart des grignotages -- et plus vous demandez d'efforts à votre système digestif.
Lorsqu'on sait que celui-ci utilise à peu près 30% de notre énergie globale pour fonctionner, cela revient au même que si vous "priviez" le moteur de votre voiture de 30% de son énergie et que par conséquent, vous ne puissiez plus rouler qu'à 63 km/h au lieu de 90... ou encore à 35 km/h au lieu de 50... Et je ne parle même pas de la tête que vous feriez, si on réduisait vos revenus mensuels de 30%... Pourtant, c'est bel et bien ce que l'on fait subir à son corps, en grignotant sans cesse : on le prive de 30% de son énergie ; 30% de ses capacités de fonctionnement... Et bien évidemment, plus on se sent fatigué(e) et moins on a envie de se bouger, moins on se sent efficace, moins on se sent bien dans sa peau et...... immanquablement, plus on a besoin de "réconfort". Résultat : on grignote de plus en plus souvent, ce qui ne manque jamais de nous entrainer dans un cercle vicieux sans fin...
La troisième conséquence négative, c'est que vous déréglez complètement votre rythme biologique interne. La majeure partie des gens ne comprennent pas forcément ce que cela veut dire, ou représente concrètement, alors je vais vous prendre un exemple.
Imaginons qu'un beau jour, tous les boulangers, supermarchés, stations services, cinémas, hôpitaux et autres commerçants en tout genre de votre pays, décident de mettre en place des horaires d'ouverture et de fermeture en fonction de leur seule humeur ou envie du moment. A votre avis, comment le vivriez-vous ? Ce serait tout bonnement impossible à gérer et cela finirait sans doute par vous rendre complètement folle ou fou ! Sans compter que cela déclencherait sans doute une véritable révolution dans le pays !
Mais si vous voulez un exemple plus réaliste, réfléchissez à ce que vous ressentez, lorsque vous êtes en train de vous consacrer à un travail, qu'il vous faut absolument terminer au plus vite, et que quelqu'un ou quelque chose vient vous obliger à le mettre entre parenthèse un moment, ou à le bâcler, pour faire autre chose de plus urgent encore ?! Je doute que vous aimiez cela...
Pourtant, c'est exactement ce que vous faites vivre à votre estomac, votre système digestif et par là même à tout votre corps, en lui imposant des grignotages à longueur de journée. Au lieu de pouvoir se consacrer à la bonne marche de tout votre fonctionnement intérieur -- respiration, détente, circulation sanguine, réflexion intellectuelle, lutte contre les virus, vision, etc.. -- et donc par là même à la bonne marche de votre santé, vous obligez votre corps à bâcler l'ensemble de son travail, en le surchargeant d'un travail de digestion quasi permanent. Alors forcément, il fait au mieux possible pour assumer ce surcroit de travail imposé par l'appareil digestif. Mais notre corps a beau être une merveilleuse machine, il a ses limites ! Et quand elles sont dépassées, "au mieux" c'est une maladie grave qui va se déclencher (le diabète, par ex.). "Au moins pire" ce sera l'accident grave telle que la crise cardiaque dont vous réchapperez. Mais "au pire", ce sera directement la mort...
Alors, perdre la mauvaise habitude de grignoter, est absolument essentielle pour voir s'envoler vos kilos en trop. C'est pourquoi, il va vous falloir trouver un maximum de réflexes pour lutter contre votre grignotage.
Le premier que je peux vous conseiller, c'est de prendre conscience du fait que vous grignoter, en vous disant par exemple : « Ah non : là je suis parti(e) pour grignoter et ce n'est pas bon pour retrouver ma silhouette ! ». Là encore, cela peut paraître idiot, écrit tel quel, mais vous découvrirez très rapidement qu'il n'y a rien de plus efficace que de prendre conscience d'une habitude, si on veut rapidement s'en débarrasser ! Pourquoi ? Tout simplement parce que le propre d'une habitude, c'est justement que l'on fait les choses sans même s'en rendre compte. En prendre conscience et donc le meilleur moyen de lutter contre !
Autre conseil : trouver des remplaçants à vos envies de grignotages ! L'idéal, c'est d'en profiter pour boire un petit coup d'eau. Ayez toujours avec vous une petite bouteille de 50cl, par exemple, que vous pourrez remplir au robinet autant de fois que vous en aurez besoin, au cours d'une journée. Non seulement ça cale, mais en plus ça fait du bien à votre corps, pour éliminer les kilos en trop et les toxines diverses.
Mais si vous n'avez pas envie de boire, alors, selon vos possibilités du moment, agissez autrement :
- écrivez ce que vous ressentez, en ayant toujours à portée de main, un petit carnet
- sortez vous aérer
- chantez ou dansez si vous aimez cela
- parlez à un(e) ami(e)
- envoyez un mail ou une lettre papier à quelqu'un que vous aimez bien
- achetez-vous un magazine
- faites un câlin à vos enfants, votre amour, votre chien, votre chat...
- soignez vos plantes vertes
- étendez-vous un instant sur un tapis de sol ou un petit coin d'herbe et relaxez-vous
- composez-vous un porte-folio avec des photos de vous même mince, si vous en avez et/ou de personnes qui vous donneront envie, par leur silhouette élégante, d'atteindre votre but. Ainsi vous pourrez le feuilleter quand vous avez envie de grignoter, cela vous encouragera à résister
- pensez à ceux et celles qui vous ont dit que vous ne réussirez pas et prouvez leur que vous êtes capable du contraire !
- relisez un extrait de quelques un de mes conseils
- etc.
A vous de compléter cette liste à l'infini. Faites en un jeu et un défi que de toujours trouver un moyen d'éviter vos grignotages ! Et même si cela fera rire certain(e)s n'ayant pas votre courage de se prendre en main, soyez fier(e) de vous-même chaque fois que vous résisterez et que vous ferez ainsi un pas de plus vers votre sommet et par là même votre victoire. Quand vous l'aurez atteint, certain(e)s riront déjà beaucoup moins !
En revanche, ne vous privez pas de manger UN fruit de votre choix, dans la matinée et l'après midi, si cela vous fait envie. Privilégiez tous les fruits ! Ne mangez pas que de la banane qui est trop souvent mangée par facilité, car pratique à emmener de partout. Et lorsque je dis UN fruit, il va de soi que si ce sont de petites prunes, par exemple, vous pourrez en manger trois ou quatre, et non pas une seule.
Voyons maintenant une autre de nos mauvaises habitudes, et je vais m'adresser là plus particulièrement aux parents ou toute personne ayant des enfants à faire manger :
Que ce soit pour éviter le gaspillage, par gourmandise ou tout autre raison, nombre de parents ou "nounou" prennent l'habitude de finir ce que leurs enfants laissent dans leur assiette. C'est une très mauvaise habitude.
D'une part, parce que si vous mangez votre propre repas et qu'en plus de celui-ci vous finissez celui de votre enfant : vous mangerez forcément trop. Mais d'autre part, parce qu'à l'inverse de ce qui précède, si vous vous contentez de finir l'assiette de votre enfant en guise de votre propre repas, cela ne pourra contenter votre estomac d'adulte !
Aussi, quoi qu'il puisse rester dans l'assiette de votre enfant : n'en faites ni du supplément à votre propre repas, ni votre unique déjeuner ou dîner.
Au besoin, accommodez le avec autre chose, si vous n'avez pas encore mangé et que cela peut compléter -- et j'insiste sur ce terme ! -- votre repas personnel. Vous pouvez également le mettre au frais jusqu'au jour suivant, selon l'aliment dont il s'agit et le ré-accomoder pour un prochain repas.
Mais sinon -- et à moins qu'il ne s'agisse de légumes ou de fruits frais -- n'ayez pas le moindre état d'âme : jetez ! Même si je suis foncièrement contre le gaspillage, finir systématiquement les restes de vos enfants -- surtout si ces restes sont sucrés et/ou gras -- cela ne peut être que nuisible à votre santé !
Et ne venez pas me prendre pour excuse, les enfants qui souffrent de malnutrition de par la planète. Ce n'est pas parce que vous jetterez un peu de nourriture que cela changera le drame de la faim dans le monde, et vous le savez pertinemment. Ce n'est là qu'un très mauvais prétexte, que l'on utilise pour se donner bonne conscience ! Si vous voulez vraiment changer quelque chose en ce sens, eh bien je vais vous donner une solution concrète.
Savez-vous combien un français dépense en moyenne pour tous ses "petits" grignotages mensuels ?! Environ 10% de son budget nourriture ! Alors si vraiment vous voulez faire un geste pour lutter contre la faim dans le monde, cessez d'acheter à tout va de quoi grignoter sans arrêt, et envoyez l'argent ainsi économisé à des organismes luttant contre le fléau de la famine. Ainsi vous ferez doublement du bien : à vous-même en premier lieu, en ne grignotant plus, et aux enfants du tiers monde, en leur apportant votre aide. Vous aurez ainsi doublement bonne conscience. Elle est pas belle la vie ?! Par ailleurs, il y a une troisième solution qui va en ce sens, mais j'y reviendrai plus loin...
Du reste, je profite de cette mauvaise habitude de finir les assiettes à tout prix, pour ouvrir ici une petite parenthèse à l'égard de nos amis à quatre pattes. Non ! votre chien ou votre chat n'est pas une solution, non plus, lorsque bébé ne finit pas son assiette. Leur donner systématiquement les restes des repas, c'est leur donner une alimentation, non seulement inadaptée à leurs besoins animaliers, mais en plus c'est les amener à grossir et par là même, c'est réduire leur espérance de vie. Alors si vraiment vous aimez votre animal : ne lui faites pas subir, ce contre quoi, vous souhaitez vous même lutter, à savoir : les kilos en trop.
Je sais que la vie semble filer de plus en plus vite et que l'on semble nous en demander chaque jour un peu plus, tant sur le plan personnel que professionnel. Du coup, ce sentiment omniprésent, de sans cesse "courir après le temps", nous a fait entrer depuis quelques années maintenant, dans une tendance à se stresser plus que de raison. Alors, c'est vrai : nos vies se sont accélérées, mais il nous arrive malgré tout, encore bien trop trop souvent, d'être convaincu(e) que si l'on ne fait pas ceci ou cela immédiatement ou impérativement, la planète s'arrêtera de tourner. Voilà comment on se retrouve du coup, à manger la plupart de nos repas, en n'étant même plus capable de prêter attention à ce que l'on a dans nos assiettes.
Alors STOP !
Ramenons les choses à leur juste valeur et constatons que dans la plupart des cas, chacun d'entre nous peut prendre au moins le temps de manger son repas, dans le calme et la détente, même s'il ne s'agit que d'un simple sandwich.
Au travail, c'est déjà et avant tout une question de loi : vous DEVEZ bénéficier d'une pause minimum pour déjeuner et même si je sais que cela peut s'avérer difficile, il faut savoir faire le maximum pour que cette loi soit respectée et appliquée. Il faut surtout faire en sorte, de ne pas vous laissez emmener dans une habitude d'en faire toujours "plus" pour "satisfaire" votre supérieur "à tout prix", en acceptant tout et n'importe quoi, jusqu'à ne plus trouver le temps de manger, par exemple.
Ayant longtemps travaillé en intérim, par le passé, cela m'a permis de connaître plusieurs ambiances et conditions de travail, et je me souviens plus particulièrement d'un employé d'une société, qui n'osait jamais dire "non" à son supérieur (qui était également le mien durant ma mission de l'époque). Résultat, l'employé en question était toujours submergé de travail et ne trouvait jamais le temps de manger tranquillement. Pourtant, s'il avait su dire "non", comme le faisaient sans aucun problème ses autres collègues de bureau, cela n'aurait "tué" personne et son supérieur aurait trouvé une autre solution, sans que quiconque n'en pâtisse. Cela était d'autant plus vrai que cette entreprise était particulièrement soucieuse du bien-être de ses employés !
Alors il est bien évident que les ambiances de travail favorables ne sont pas forcément la priorité de toutes les entreprises, qu'elles soient grandes, moyennes ou petites. Mais cela en fait une raison de plus pour que l'heure de la pause repas soit abordée, autant que possible, comme une "bulle d'air" et de détente même si elle ne peut durer qu'un quart d'heure.
Maintenant, dans le cas de métiers particuliers, tels que les pompiers ou les urgentistes, même si on sait que l'on peut être interrompu à tout instant, il faut malgré tout, et d'autant plus, conserver l'habitude de vraiment "se poser" pour manger. Sinon, on finit par prendre le réflexe de grignoter toujours debout entre deux portes, même lorsqu'on a le temps de déjeuner ou dîner tranquillement. C'est d'autant plus important dans tous les métiers de "stress" où il faut absolument apprendre à se détendre, pour protéger sa santé mentale, tout autant que sa santé physique.
Même chose à la maison. Apprenez à vous asseoir pour manger. Ne faites pas 50 choses en même temps. Le courrier à trier s'empile ? Il attendra 20 minutes de plus s'il le faut, mais ne le lisez pas en dînant ou déjeunant ! La machine à laver vient de finir son cycle ? Finissez de manger tranquillement ! Là non plus ce n'est pas 20 minutes de plus ou de moins, qui feront la différence sur du linge à sécher.
Que ce soit au travail, à la maison ou en vacances : réapprenez à prendre votre temps pour manger, même si ce n'est qu'un sandwich. Croyez moi : non seulement cela n'empêchera pas la planète de tourner, mais avec un peu de chance, vous finirez par faire des émules et amènerez ainsi petit à petit, un peu plus de sérénité autour de vous...
Dans la suite logique de ce que je viens de vous expliquer, il serait bon de se souvenir que manger doit être un moment de détente, mais aussi de plaisir. Alors évitez autant que possible de parler soucis ou problèmes conséquents, pendant que vous mangez. Dans la vie, il y a un temps pour tout.
Tout d'abord, régler un problème demande de l'attention et il est toujours difficile de faire deux choses à la fois. D'autre part, selon le problème, il peut être source de conflit et jusqu'à preuve du contraire, avoir des divergences "houleuses" avec son conjoint, son patron ou tout autre personne lors d'un repas, ne fait jamais vraiment avancer les choses. Tout ce que l'on y "gagne" en général, c'est un repas qui, pris dans la contrariété, nous "reste sur l'estomac". Alors si vous devez discuter de quelque chose d'important avec quelqu'un, faites le en dehors de vos repas. Quitte à le faire avant et à manger après, ou vice versa.
Je sais combien il peut être tentant lorsqu'on mange entre collègues de travail, par exemple, de mettre et remettre jour après jour sur le tapis, les difficultés professionnelles que l'on rencontre. Pourtant, c'est une habitude extrêmement néfaste. A part ressasser encore et toujours sa rancoeur et son énervement, cela ne fait jamais avancer le problème vers du positif, car ce n'est pas ainsi que se règlent les difficultés. Mais le pire, c'est que ça ne fera que vous enfermer un peu plus dans vos problèmes de stress et par là même de poids, entre autres. Et pour cause...
Même si cela ne semble pas une évidence, prendre le temps de manger sereinement et d'éviter les conflits/problèmes pendant les repas, ne pourra que vous être bénéfique à long terme. En effet, que vous soyez dans un mauvais jour, une mauvaise passe ou au contraire dans une période pleinement heureuse : votre corps et votre esprit ont TOUJOURS besoin de faire des "pauses" au cours d'une journée. Alors apprendre à manger avec le plus de calme et de sérénité possible, c'est offrir autant à votre corps qu'à votre esprit un instant de "ressourcement" qui vous permettra ensuite de mieux repartir ! Laisser de côtés, même pour un quart d'heure, les soucis ou l'euphorie (qui consomme elle aussi de l'énergie !) : c'est l'occasion de recharger ses batteries physiques et émotionnelles, pour affronter au mieux le reste de la journée.
Aussi, n'hésitez pas à l'heure du repas à vous trouver un lieu aussi calme que possible pour manger et SURTOUT, prenez la bonne habitude dès les premières secondes de cette pause professionnelle ou familiale, de mettre votre esprit en mode de "pensées positives" ! Peu importe le sujet auquel vous penserez pourvu qu'il vous fasse du BIEN !! Vous verrez que cela vous fera le plus grand bien et n'empêchera pas la terre de continuer à tourner, et ce à moindre frais pour votre équilibre mental, physique et alimentaire !
Désormais, si vous avez bien lu le chapitre consacré aux idées reçues, vous avez dû comprendre que sauter REGULIEREMENT DES repas en espérant perdre du poids, est non seulement inefficace, mais pire encore : cela vous fera immanquablement grossir à long terme ! Car je vous rappelle que chaque fois que vous privez votre corps d'un repas normal, il s'inquiète que cela puisse durer dans le temps et donc il se met à faire des stocks. Donc n'oubliez plus jamais qu'un repas sauté, c'est des kilos stockés !
Ceci dit gardons là encore du bon sens ! Si le lendemain d'un dîner trop conséquent vous n'avez pas faim au petit déjeuner, ne vous forcez pas ! Un fruit, un jus de fruit, un thé ou même un simple verre d'eau feront parfaitement l'affaire et ne changeront rien à votre poids.
De même si vous êtes malade et que vous n'avez pas faim : ne vous forcez pas ! On pense souvent à tort qu'il faut manger lorsqu'on est malade afin de conserver ou reprendre des forces. La plupart du temps, c'est une vision des choses tout à fait erronée. Si vous n'avez pas faim lorsque vous êtes malade, c'est pour une bonne raison ! Rappelez-vous de ce que j'ai écrit plus haut sur la consommation d'énergie nécessaire lors de la digestion. Notre corps et notre esprit sont intelligents ! et ils savent très bien calculer ! Ils savent que nous pouvons vivre sans manger durant de nombreux jours. Alors lorsque nous sommes malades, ils n'hésitent pas à nous couper l'envie de manger, afin de consacrer toute l'énergie du corps à lutter contre la maladie qui nous assaille !
Aussi, si vous êtes malade -- je parle bien évidemment ici de maladies bénignes ne durant en général que quelques jours -- n'hésitez plus à écouter la sagesse de votre corps et de votre esprit. Contentez-vous de boissons, car en revanche, boire est indispensable à la vie. Absorbez des jus de fruits et des bouillons de qualité, qui vous apporteront vitamines et sels minéraux, sans demander une dépense énergétique importante pour la digestion. Vous serez sans doute étonné(e) de constater que l'on se rétablit bien plus vite ainsi, qu'en se forçant à manger !
Que ce soit chez soi, au restaurant ou chez des amis, il nous arrive fréquemment -- voire même bien trop souvent -- d'avoir "plus gros yeux que gros ventre" ou tout simplement, de se voir servir trop copieusement. Sur bien des plans, c'est là encore une très mauvaise habitude, car non seulement elle nous fait perdre toute notion de satiété -- c'est à dire le fait de ressentir que l'on n'a plus faim -- mais en plus elle nous incite à manger bien plus que nécessaire.
Alors à l'avenir, lorsque vous n'aurez plus du tout faim et ce, même s'il reste de la nourriture dans votre assiette : apprenez à dire STOP !
Perdre l'habitude de finir son assiette "à tout prix", est indispensable pour retrouver la ligne et plus encore la santé ! Parce qu'à part nous "enrober" de kilos en trop -- tout en nous amenant le plus souvent au bord de la nausée -- cela ne sert strictement à rien de se laisser "gaver comme une oie"...
Chez vous, ce ne sera jamais un problème de renoncer et vous pourrez très bien mettre, ce qu'il vous restera dans votre assiette, au frais, afin de pouvoir le consommer à un autre repas… Au restaurant, vous êtes le client et le client est toujours roi, même si cela ne doit jamais dispenser de rester courtois. Si vous en éprouvez le besoin, vous pourrez toujours "justifier" de ce que vous laissez dans votre assiette, en expliquant que cela était particulièrement bon, mais que vous avez suffisamment mangé. Tout simplement. Pour tout vous dire, il m'est déjà arrivé plusieurs fois d'expliquer à la personne qui me servait, que si je ne finissais pas mon plat principal c'est parce que je souhaitais me réserver une petite place pour un dessert. Jusqu'à présent cela ne m'a jamais valu autre chose que des sourires ou des taquineries de compréhension !
En revanche, cette décision vous semblera peut-être plus délicate à prendre chez des amis, bien que cela ne devrait pas être le cas et encore moins le devenir, puisque ce sont justement des amis. Tout comme pour le restaurant, vous devez pouvoir expliquer, sans que cela fasse de drames, que c'était réellement très bon mais que vraiment vous n'en pouvez plus, et que vous préférez donc vous arrêter là. Même chose, bien évidemment, si l'on veut vous resservir alors que vous n'avez plus faim.
Si vraiment vos amis ne peuvent pas comprendre que vous faites cela avant tout pour votre bien et donc votre santé et qu'ils s'en offusquent au point d'en être vexés : changez d'amis !
Peut-être penserez vous que j'y vais un peu fort, mais dans un tel cas, le problème ce n'est pas vous, mais EUX. Se sentir vexé(e), dans notre civilisation moderne, parce qu'un(e) ami(e) à la sagesse de ne pas manger plus que nécessaire, c'est avoir un sérieux problème personnel de reconnaissance ou d'ego. Pourquoi ? Parce que cela signifie que la personne qui vous reçoit, considère comme plus important que vous finissiez le plat qu'elle a préparé, plutôt que de prendre soin de votre santé. C'est donc qu'elle a plus besoin que l'on apprécie sa cuisine "à tout prix" -- et donc par extension, elle-même -- que de vous apprécier vous, qui êtes censé(e) être son ami(e).
Vous vous souvenez du chapitre sur les personnes qui feront tout pour -- volontairement ou non, inconsciemment ou non -- vous faire échouer sur votre chemin vers la minceur ? Eh bien, voilà un nouvel exemple parmi tant d'autres.
Alors bien évidemment, il n'appartiendra qu'à vous de gérer ce genre de situations comme VOUS le souhaiterez, mais pour ma part, quitte à m'être parfois "fâchée" -- jamais bien méchamment et toujours temporairement -- avec certaines de mes relations, je n'ai jamais laissé PERSONNE, remettre en cause les décisions que j'avais prises pour retrouver ma ligne ! Et aujourd'hui, si c'était à refaire, croyez bien que je resterais de nouveau aussi "ferme", parce que sans quoi, je n'y serais jamais parvenue !
C'est là encore une règle de bon sens et une simple histoire de stock que l'on oublie bien trop souvent.
Votre corps fonctionne un peu comme celui des moteurs d'un avion. Le matin, il a besoin de mettre "plein gaz", afin de vous permettre de "décoller" et d'attaquer au mieux votre journée. Il consomme alors beaucoup d'énergie : d'où l'importance d'un bon petit déjeuner. Puis, au cours de la matinée, il va réguler son besoin de "carburant" à la baisse, car une fois "lancé(e)" dans votre journée de travail, vous êtes comme un avion qui vole "en croisière", à une vitesse et une altitude constante. Votre besoin d'énergie est alors moins important, c'est pourquoi le repas de midi n'a pas besoin d'être aussi conséquent que celui du petit déjeuner. Enfin, quand arrive le soir, votre corps va réduire petit à petit "les gaz" et donc sa consommation d'énergie, puisqu'il sait que vous allez vous préparer à "vous poser" pour la nuit.
Conclusion : si vous mangez autant le soir qu'à midi, votre corps fera automatiquement du stock, parce qu'il n'aura pas besoin, pour simplement dormir et donc fonctionner "au ralenti", de toute cette énergie alimentaire que vous lui aurez envoyée en trop grande quantité. Ce n'est pas plus compliqué que cela.
Alors retenez ce sage et intelligent proverbe qui dit : "Mange le matin comme un roi, à midi comme un prince et le soir comme un mendiant". Tout est dit dans ces quelques mots... et en plus vous n'en dormirez que mieux la nuit ! car qui dit : "digestion en pleine activité, dit sommeil difficile à trouver !"
A moins bien sûr qu'il n'y ait eu des avancées médicales dont j'ignorerais encore l'existence à ce jour, je m'adresserai ici plutôt aux dames et demoiselles qu'aux messieurs !
Qu'elle soit bien ou mal vécue, la grossesse reste et restera toujours un "bouleversement" dans la vie d'une femme. Que ce soit sur un plan physique et/ou psychologique : rien ne sera plus jamais comme avant !
Pour celles qui ne connaissaient aucun problème de poids particulier avant la grossesse, il y a peu de risques pour que celle-ci ne change quoi que ce soit à leur silhouette. Oh, bien sûr, je ne dis pas que ces femmes retrouveront un corps absolument identique à celui d'avant l'enfant ; mais en revanche, dans la grande majorité des cas, le poids redeviendra, lui, après accouchement, exactement le même qu'avant la grossesse. La raison en est facile à comprendre : c'est tout simplement que des femmes ayant un rapport serein à la nourriture, ne prendront rarement plus que les 10 ou 11 kilos préconisés pour une grossesse.
En revanche, pour les femmes qui connaissent des rapports difficiles avec la nourriture et qui ont par là même des problèmes de poids : la grossesse devient bien souvent un excellent prétexte pour "se lâcher" et manger ainsi bien plus que de raison. Là où seule une dizaine de kilos devraient être pris -- voire même un peu moins en cas d'important surpoids -- c'est souvent une 20 aine de kilos supplémentaires qui viennent s'ajouter au poids d'avant grossesse.
Si dans ma tentative de vous aider à "Mincir intelligemment" vous avez pris le temps de lire la partie intitulée "Comprendre l'essentiel", je pense qu'il vous sera alors facile de comprendre maintenant, comment la grossesse peut, elle aussi, devenir l'un de ces prétextes qui nous permet, consciemment ou non, à nous les femmes, de nous "lâcher" sur la nourriture.
Il est donc essentiel pour celles qui ont déjà un surpoids léger ou a fortiori important, de ne pas céder à la tentation du "lâcher prise" sous prétexte qu'elles sont enceintes.
"Se lâcher" est certes beaucoup plus facile, mais c'est une facilité qu'hélas, bien des femmes payent extrêmement cher et regrettent amèrement des années durant, par la suite...
Il n'y a que des inconvénients à prendre trop de kilos, dés lors que l'on a déjà des problèmes de poids avant une grossesse. L'idéal serait donc bien sûr de régler ses problèmes de poids AVANT de mettre bébé en route. Mais si la "petite graine" a déjà été plantée, alors au lieu de vous "lâcher" -- et par là même de faire des "dégâts" qui seront très difficiles à rattraper par la suite -- profitez-en pour entreprendre, avec douceur, votre chemin minceur.
Pensez à votre bébé, bien sûr, mais pensez surtout à vous !
Vous êtes enceinte ? Eh bien plutôt que de vous laissez aller coté poids, autorisez-vous à être "pénible" pour votre bien ! Saisissez l'occasion de votre grossesse pour vous faire chouchouter par autant de personnes que possible, dans votre entourage proche, en affichant clairement votre objectif : ne prendre que le poids nécessaire ! Ce ne sera que pour 9 mois, alors profitez-en !
Réclamez des choses bonnes pour vous et votre bébé ! N'hésitez pas à mettre les autres "au pas" de ce qui est le meilleur pour vous, votre santé et celle du "petit" à venir ! Par exemple, faites en sorte que les "grand-mères" -- qui pour la plupart veulent toujours "s'investir" dans la venue prochaine de leurs petits-enfants -- vous mijotent des petits plats équilibrés pour vous et bébé !
Osez demander de l'aide et des conseils pour profiter au mieux de ces neufs mois ! Les futures mamans ne le font pas suffisamment et c'est un tort ! Alors faites le ! Et si vous en éprouvez le besoin, n'hésitez pas à vous faire aider et encadrer autant que possible, par une diététicienne ou un(e) médecin nutritionniste ou tout autre personne compétente, afin de ne prendre que le poids vraiment nécessaire.
Vous verrez qu'au final vous aurez TOUT à y gagner !
J'avais très brièvement abordé le sujet au chapitre "Pourquoi les régimes sont-ils inefficaces" [Etape un => Comprendre l'essentiel => Equilibre et confiance => Pourquoi les régimes sont-ils inefficaces].
Lors de ce chapitre, je vous avais expliqué combien il est essentiel de ne plus "paniquer" votre corps et votre esprit, si vous souhaitez mincir sereinement et surtout durablement.
Si je vous avais longuement expliqué pourquoi les régimes draconiens, entre autres, "paniquent" votre corps et votre esprit, je n'avais abordé le problème du sport à outrance que très rapidement.
Je profite donc de ce chapitre sur les "mauvaises habitudes à perdre", pour vous rappeler combien le sport à outrance va à l'opposé même du but que vous souhaitez atteindre.
En effet ! Souvenez-vous que votre corps et votre esprit ont pour mission première, tout au long de votre vie, d'assurer votre survie aussi longtemps qu'ils le pourront ! Par conséquent, dés qu'ils s'aperçoivent que :
- vous avalez soudainement moins de calories (régime) ET que dans le même temps,
- vous dépensez soudainement plus de calories que d'ordinaire (sport à outrance) ET que
- ces deux phénomènes semblent durer dans le temps
.... alors le signal d'alerte est émis par votre esprit ! Il panique ! En bon gestionnaire "alimentaire" qu'il est, il se rend bien compte qu'il sort plus de "réserves" de votre corps (sport !) qu'il n'en rentre au cours des repas (régime !). Et comme il ignore combien de temps cela risque de durer, il prend des mesures de restrictions pour limiter votre consommation de réserves "sortantes" !
Voilà pourquoi se mettre soudainement à pratiquer du sport à haute dose est une erreur fatale à toute perte de poids efficace !
Sans compter la fatigue qui risque de s'installer très vite, car votre corps limitant au possible les sorties de "sucres/énergie" de vos réserves de graisse, vous perdrez assez rapidement "la forme", du fait que votre corps vous obligera malgré vous à "tourner au ralenti".
Aussi, tout comme les régimes "miracles" qui promettent des pertes de poids spectaculaires en peu de temps, le sport pratiqué à haute dose ne peut qu'entrainer votre corps et votre esprit à déclencher un processus inverse à la perte de poids espérée !
Seul un équilibre alimentaire intelligent et constant peut permettre, pour ceux et celles qui le souhaitent, de pratiquer du sport "à haut niveau", sans paniquer leur esprit et leur corps.
Tout comme l'alcool, la nourriture dans son ensemble est devenue depuis quelques années une façon de se "déstresser".
J'en veux pour preuve qu'il y a quelques années encore, prendre un verre ou un apéro avant un repas était plutôt réservé :
- aux diners entre amis le vendredi ou samedi soir
- aux repas en famille du dimanche
- ou aux sorties occasionnelles, comme au restaurant, par exemple
Désormais, il est devenu courant -- pour un nombre grandissant de personnes et en particulier de jeunes adultes -- de prendre un apéro dans un bar ou chez soi, quasiment tous les soirs en rentrant du travail. C'est devenu en quelque sorte comme un "sas de décompression" entre le monde professionnel et le monde personnel.
C'est malheureusement, un sas qui coûte cher sur bien des plans et dont nombre de personnes sous-estiment les conséquences futures.
Il coûte cher d'abord sur un plan purement financier, car acheter régulièrement de l'alcool et des "amuses gueules" finit par représenter un budget mensuel, et a fortiori annuel, dont la plupart des adeptes de ce plaisir n'ont pas du tout conscience.
Mais il coûte encore plus cher sur deux autres plans : celui des calories et celui de l'alcoolisme.
Ainsi, un simple verre d'alcool associé à 10 cacahuètes (une petite poignée) OU à 4 olives noires, représentent déjà allègrement entre 100 et 150 calories ! Autant dire que la majorité des personnes ne se contentant ni d'un simple verre, ni d'une seule poignée de cacahuètes ou de tout autre "amuse-gueule", l'apéritif représente déjà souvent à lui seul 50%, voire bien plus, des calories du repas qui suivra.
Mais le plus inquiétant dans la prise régulière d'un apéritif, c'est l'accoutumance psychologique et alcoolique que cela ne manquera pas de déclencher chez toute personne qui entrera dans cette habitude.
Il faut savoir que sur bien des plans, notre cerveau n'est pas différent de la façon dont nous autres humains agissons. Quand nous avons pris l'habitude d'une chose qui nous est agréable et/ou nécessaire, on n'aime pas du tout l'idée d'être privés de cette chose. Exemple ? L'eau qui coule au robinet ; Le salaire qui nous est versé chaque mois lorsque nous travaillons ; Notre place de parking réservée en bas de l'immeuble ; Notre série télévisée préférée ; Les jours fériés ; Notre médecin habituel ; Notre camembert préféré ; Notre téléphone portable ; etc etc
Bref, peu importe l'objet ou le privilège de notre habitude. Peu importe que l'on paye ou non pour celui-ci. Ce que je veux vous expliquer c'est que dés lors que l'on nous prive de cet objet ou de ce privilège habituel, on devient très vite mécontent, surtout s'il s'avère que la privation doit durer dans le temps !
Eh bien, il en va de même pour notre cerveau. Lui donner l'habitude d'un apéritif alcoolisé régulier, c'est lui donner l'habitude de recevoir une "dose" régulière d'un plaisir (le sucre contenu dans l'alcool) dont il ne sera pas prêt d'accepter l'arrêt brutal, comme si de rien n'était ! Cela est d'autant plus vrai, que l'on rejoint ici la fameuse notion de "repères sécurisants" déjà vue ici => [Etape deux => Agir autrement pour mincir durablement => Page A => Envoyer promener les défaitistes....]
Voilà comment et pourquoi nombre de personnes deviennent alcooliques -- sans même s'en rendre compte ou vouloir l'admettre -- via le "petit verre" qu'elles s'octroient tous les soirs ou plusieurs fois par semaine en rentrant chez elles ou lors des fameux "after"...
Aussi, si vous faites partie de ces personnes qui prennent un apéritif plusieurs fois par semaine, il est essentiel pour votre perte de poids -- et plus encore pour votre santé, si vos apéritifs sont alcoolisés -- que vous repreniez la bonne habitude de réserver l'apéritif pour les vrais repas de convivialité restant occasionnels...
Voilà. Nous venons de faire le tour des quelques mauvaises habitudes les plus courantes. Bien évidemment, cette liste est loin d'être complète, car chaque personne a plus ou moins les siennes. Aussi, même si je le voulais, il me serait donc impossible de toutes les énumérer. Mais dans l'ensemble, même si nous n'aimons pas toujours le reconnaître, nous savons bien ce qui est bon ou mauvais pour nous, lorsqu'on souhaite perdre du poids.
Alors à vous de répertorier VOS mauvaises habitudes et de faire en sorte de les mettre à la porte de votre vie, comme vous allez y mettre vos kilos en trop !
Pour la suite, c'est par ici : PAGE C comme Croquer...
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