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Contentons-nous de faire réfléchir
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Georges Braque

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Si vous saviez à quel point nos certitudes sont relatives et éphémères...

Plus je vieillis et plus la relativité de tout ce qui constitue nos vies d'humains semble me "sauter aux yeux", jour après jour.

Que l'on soit prêt ou non à le reconnaitre, nous autres humains sommes tous "pétris" d'un nombre plus ou moins conséquent de certitudes !

De fait, nous "campons" souvent sur certaines de nos "positions", convaincus d'avoir toutes raisons de notre côté, alors qu'il suffit le plus souvent de se retrouver dans une position ou une situation que l'on n'avait même pas pris la peine d'envisager, pour se rendre compte soudainement, que nos certitudes n'étaient que des "châteaux de cartes"...

Pour nous en convaincre, prenons quelques exemples qui vaudront mieux que toutes les explications du monde.

Exemple n°1

Je me souviens d'avoir eu un jour une conversation un peu "vive" avec l'une de mes connaissances, parce que ce dernier (c'était un homme), ne comprenait pas que je puisse être vivement "remontée" contre les obligations de vaccination imposées en France (ou dans d'autres pays, d'ailleurs)

Le "débat", si je peux appeler cette conversation ainsi, était né suite à l'affaire de la fameuse "grippe A" dont il était assez simple --- si on se donnait la peine d'analyser les chiffres et les informations de l'époque, hors du contexte anxiogène soigneusement mis en place et entretenu par les médias --- dont il était assez simple donc, de s'apercevoir qu'il y avait de sérieuses questions à se poser quant à la véracité de cette supposée pandémie !

Je ne prendrai qu'une question pertinente parmi tant d'autres possibles à l'époque :

- pourquoi l'OMS avait-elle fait le choix d'ABAISSER le niveau STANDARD permettant de déclarer une maladie comme pandémie, alors même que ce "niveau standard" avait été établi par ses soins ?!

En clair, si l'OMS n'avait pas fait ce choix, la grippe A de 2009 n'aurait JAMAIS été traitée comme une "pandémie", mais bel et bien comme ce qu'elle fut en réalité : une xième grippe "normale" ! Je mets le "normale" entre guillemets, simplement parce que cette grippe n'était pas pire qu'une autre pour les pays "riches" ayant la chance de vivre "normalement" ou autrement dit avec des conditions d'hygiènes leur permettant de faire face "naturellement" à une grippe. Quant aux pays ne bénéficiant pas, malheureusement, de telles conditions par manque d'eau potable, par exemple, ce n'est certainement pas en faisant vacciner la population française "en masse" que cela aurait changé leurs conditions de vie !

Du coup, lorsqu'on constate la façon dont cette "psychose" mondiale est retombée comme un "soufflet" --- entre autres, grâce au bon sens de tous les citoyens et citoyennes français (mais pas que !) n'ayant pas cédé à la panique et la "paranoïa" ambiante --- on peut légitimement s'interroger sur les intérêts de ceux (laboratoires pharmaceutiques, en tête) auxquels auront profité cette supposée pandémie.

Une chose est sûre en revanche : c'est qu'à l'arrivée, que l'on se soit fait vacciner ou non, on en aura quand même fait les frais --- financiers ! --- indirectement puisqu'entre l'achat et surtout la destruction de ses stocks de vaccins inutilisés, la France aura dépensé la "modique" somme de 400 MILLE euros !

A noter au passage que, malgré ce "magnifique fiasco" orchestré en grande partie par madame Roseline Bachelot --- dont, là aussi on peut noter au passage, que ses relations plus "qu'étroites" avec certains laboratoires pharmaceutiques auront été largement avéré, avant même l'achat des vaccins en question --- ce n'est pas elle qui aura payé les "pots cassés" finaux, mais bel et bien le contribuable français !

Mais le pire, et j'en reviens par là, à mon premier exemple quant aux certitudes infondées que tout un chacun peut avoir, c'est que parmi les personnes s'étant fait vacciner, certaines se sont retrouvées avec des troubles neurologiques tellement conséquents que l'Etat a choisi de les indemniser !

Or, c'est justement sur les effets secondaires déclenchés par certains vaccins que ma conversation évoquée plus haut avait commencé à "s'enflammer".

Pourquoi ? parce que la personne avec qui j'en discutais, ne comprenait pas que je ne fasse pas passer "l'intérêt général" --- à savoir, protéger un maximum de français (d'humains) face à une éventuelle épidémie grippale --- plutôt que quelques cas isolés de personnes subissant les effets secondaires graves d'un vaccin.

Sachant que cette personne avait une profonde affection pour ces petits neveux et nièces, je le mis face à une question simple :

- "Tu es pour la vaccination ? OK ! J'en déduis donc que si demain, ta petite nièce que tu aimes tant, déclenche des troubles neurologiques graves après avoir été vaccinée :

1) tu ne verras aucun inconvénient à ce fait ?

2) tu ne porteras pas plainte contre l'Etat ? et donc

3) tu accepteras sans regret, sans reproche, et sans jugement qu'elle soit un "dommage collatéral" au nom de "l'intérêt général" ?

La réponse de mon interlocuteur fut, dans un premier temps, un grand "blanc" de quelques secondes, suivi par un : "Ce n'est pas pareil !", sous entendu que ce ne serait pas la même chose si c'était sa petite nièce qui était victime d'effets secondaires.

Et pourtant, SI ! C'est exactement la même chose ! Que ce soit nous-même, un proche auquel on tient ou tout autre personne nous étant inconnue : quand des personnes sont des victimes "collatérales" au nom de "l'intérêt général" : c'est EXACTEMENT la même chose !

La seule chose qui diffère alors, c'est la façon dont NOUS, en tant qu'individu, nous percevons les faits selon le degré auquel ils nous "impactent" ! Ce que d'ailleurs quelqu'un a fort bien résumé au travers de cet éloquent petit dessin :

                          Nationalités des victimes

Assez "brutale" comme vérité, mais tellement vrai qu'il n'y a pas si longtemps de cela une ONG (me semble t'il) avait lancé un "cri d'alarme" quant au fait que, selon les régions du monde "sinistrées", les dons envoyés par des particuliers pouvaient être soit d'une générosité "incroyable" soit quasi inexistants...

Donc pour en revenir au sujet initial de ce premier exemple : les certitudes de mon interlocuteur étaient clairement "à deux vitesses" selon qu'il était personnellement concerné ou non, quant aux effets secondaires des vaccins.

 

Mais il est un deuxième exemple que tout un chacun(e) pourra tout aussi bien comprendre et qui du reste ne date pas d'hier.

Exemple n°2

Dans cet exemple fort connu, on met des cobayes humains face au cas suivant : vous êtes à l'intersection d'une voie ferrée qui se sépare en deux. Au loin, sur l'une des voies, que nous qualifierons de voie "A" vous distinguez un groupe de plusieurs personnes, alors que sur l'autre voie, la voie "B", vous distinguez une seule personne. Dans les deux cas, les personnes présentes sur les voies "A" et "B" sont bloquées et ne peuvent s'en échapper.

Un train arrive. Il ne peut être stoppé ! Mais VOUS, qui êtes à l'intersection des deux voies, vous avez le choix de l'orienter sur la voie "A" ou sur la voie "B". Quel choix allez-vous faire ?

Avec "logique", toutes les personnes auxquelles on soumet ce choix, vous répondent qu'il vaut mieux sacrifier la personne seule sur la voie "B" que le groupe de personnes bloquées sur la voie "A".

SAUF que l'on précise alors à nos cobayes humains, un "léger" détail : la personne seule sur la voie "B" est en réalité la personne que vous aimez le plus au monde ! Quel choix allez-vous alors décider de faire ? Sauver un maximum de personnes, au sacrifice de la personne que vous aimez le plus au monde ? Ou sauver la personne que vous aimez le plus au monde, au sacrifice d'un maximum de VIES humaines ?

La certitude qui était la vôtre, AVANT que l'on vous précise qui était la personne seule sur la voie "B" n'a soudain plus du tout la même valeur ni humaine, ni psychologique, ni logique et encore moins morale !

Mais prenons un dernier exemple, histoire de bien "enfoncer le clou" des certitudes !

Exemple n°3

Il est un "débat" qui revient de plus en plus souvent sur le tapis depuis l'avénement des caméras dites "embarquées" : c'est celui concernant le fait de dénoncer la dangerosité de certains automobilistes au volant, grâce, essentiellement et justement, à ces fameuses caméras "embarquées" dont s'équipent de plus en plus de conducteurs.

Il suffit que dans un forum une personne aborde ce sujet, pour qu'aussitôt une autre vienne la traiter de "collabo" et lui parler de "délation", avec pour certitude, entre autres, qu'il s'agirait là d'une atteinte à la liberté de chacun(e).

Sur le fond, on peut dire que c'est indéniablement vrai qu'il y a une forme, sinon une atteinte certaine à la liberté que de filmer le comportement d'autrui, qu'il soit ou non au volant d'une voiture. Et c'est bien l'une des raisons pour lesquelles je suis et serai toujours profondément choquée par le "métier" de paparazzi ! En même temps, soyons clairs : s'il n'y avait personne pour lire les "torchons" alimentés par ce genre d'individus, leur "métier" n'existerait tout simplement pas ! Mais je m'égare du sujet initial...

Il y a donc et incontestablement atteinte à la liberté lorsqu'une personne filme le comportement d'un autre automobiliste au volant.

Pour autant, si les personnes qui sont contre le fait que l'on puisse dénoncer le comportement dangereux de certains automobilistes, deviennent elles-mêmes un jour les victimes d'un tel "chauffard" : seront-elles alors toujours d'accord pour que personne ne vienne dénoncer ce même "chauffard", si quelqu'un a été témoin de l'accident ?

Car, après tout, où est la différence entre "dénoncer" le comportement dangereux d'un automobiliste AVANT qu'il ne commette un accident et APRES qu'il l'ait commis ? Où est la différence entre ce qui serait considérée comme une "délation" AVANT et un "témoignage" APRES un accident ?

Pour rappel, la délation, c'est le fait d'une "dénonciation intéressée et méprisable". Le témoignage, c'est le "récit fait par une personne de ce qu'elle a vu ou entendu".

La question que l'on peut légitimement se poser, c'est en quoi le fait de dénoncer --- avant qu'il ne provoque un accident --- un automobiliste réellement dangereux, serait-il plus "intéressé et méprisable" que de le dénoncer après qu'il l'est commis ?

D'autant que le débat pourrait dés lors s'étendre à bien des domaines tels que, par exemple, celui du "corps médical" et de ces dentistes ou chirurgiens incompétents et/ou sans scrupules qui, s'ils n'étaient jamais dénoncés, pourraient impunément et des années durant continuer de briser la vie de centaines de milliers de personnes.

Du reste, on pourrait en dire tout autant de la pédophilie, de la violence conjugale, de la maltraitance des animaux, des entrepreneurs "verreux", des gourous de sectes, du harcèlement moral ou physique, etc etc : les exemples pouvant se décliner par centaines pour ne pas dire par milliers.

Mais finalement, si on suit la "certitude" selon laquelle, il y aurait "délation" et atteinte à la liberté d'autrui en dénonçant, par soi-même, le comportement dangereux de certains automobilistes, alors pourquoi devrait-on les laisser se faire "traquer" au quotidien, eux ou plus encore les terroristes en tous genres --- le plus légalement (police, gendarmerie, etc) du monde --- AVANT qu'ils n'en viennent à commettre l'irréparable ?!

Car en soi, si les services de protection que sont la police, la gendarmerie et tous les autres acteurs du secteur, s'appuient dès qu'ils le peuvent sur les bandes des "vidéos surveillance" ou autres vidéos "amateur", d'ailleurs, lorsqu'ils mènent une enquête, pourquoi ne pourrait-on en faire autant en "prévision" ?

Par ailleurs, peut-on dire d'un terroriste --- qui a choisi de faire sauter une bombe afin de tuer des gens --- qu'il est plus "responsable" ou dangereux qu'un automobiliste qui ne respecte pas SCIEMMENT les règles de conduite les plus élémentaires et par là même, la vie des autres usagers de la route ?

Où est la différence, quand une personne prend SCIEMMENT le volant alors qu'elle a bu plus que de raison ?

Où est la différence, quand une personne "colle" SCIEMMENT l'arrière d'un autre véhicule, roulant à 130, 110 ou même seulement 90 km/h ?

Où est la différence, quand quelqu'un "textote" SCIEMMENT au volant en même temps qu'il/elle roule ?

Pour moi, dans tous ces cas, et bien d'autres, malheureusement, il n'y a absolument aucune différence entre la dangerosité d'un terroriste et celle d'un automobiliste n'en ayant que faire de mettre la vie d'autrui en danger, parce que seuls son "intérêt" et sa "petite personne" lui importe !

Autant, l'erreur étant humaine, je peux envisager que quelqu'un passe au feu rouge ou un un stop sans l'avoir réellement vu. C'est un cas de figure qui est susceptible d'arriver à n'importe qui ! Même ceux ou celles qui sont persuadés d'avoir une conduite exemplaire, peuvent ou pourront être un jour "distrait" ou "préoccupé" au mauvais moment, au mauvais endroit.

Autant, il n'y a RIEN, absolument rien, ni aucune excuse, au fait de mettre SCIEMMENT la vie d'autrui en danger, lorsqu'on est derrière son volant.

 

Par conséquent, et pour en revenir au sujet initial, comme on aura pu le voir au travers de seulement 3 exemples : la plupart de nos certitudes sont plus que sujettes à relativité et dépendent pour la grande majorité d'entre elles, du simple fait de se trouver d'un coté ou de l'autre d'une même "barrière".

Que l'on soit jeune ou vieux, pauvre ou riche, blanc ou noir, en bonne santé ou malade, en prison ou en liberté, aimé ou detesté, célèbre ou anonyme, heureux ou malheureux, ayant accès à l'éducation ou non, homme ou femme, dirigeant ou salarié, gouvernement ou peuple, bourreau ou victime, etc : les certitudes des uns et des autres, ne seront jamais que des certitudes "conditionnées" par une vision la plus souvent tronquée d'une réalité inconnue.

Et malheureusement, rien n'est vraiment fait, en France en tout cas, pour amener les gens à plus de réflexion vis à vis de leurs certitudes.

Autant on "bourre" la tête des gamins, toute leur scolarité durant pour qu'ils apprennent, majoritairement par coeur, telles ou telles connaissances, autant on ne leur apprend quasiment jamais à véritablement réfléchir par eux-mêmes, en essayant de se positionner des deux côtés de la "barrière".

Pour ma part, il a fallu que j'atteigne le stade bac+2 de mon cursus scolaire pour que, pour la première fois de mes études, un enseignant m'amène --- m'oblige, serait plus juste --- à me positionner tour à tour des deux coté de la barrière, m'obligeant par là même à réfléchir au-delà de mes simples convictions et certitudes !

Pour ce faire, il me (nous, à mes petits camarades et moi même) imposa un certain nombre de sujets, touchant à tous les domaines, tels que, par exemple : "Pour ou contre l'avortement". Le but final du "jeu" (qui fut noté !) était d'être capable d'argumenter aussi bien le "pour" que le "contre" d'un sujet que l'on tirerait au sort le moment venu.

Eh bien je peux vous dire que ce fut l'une des pires "épreuves" de tout mon cursus scolaire ! Et ce, malgré le fait que nous ayons eu à l'époque au moins une bonne quinzaine de jours pour travailler à trouver nos arguments !

Pour autant, j'ai conservé de l'époque cet "exercice" dans un petit coin de ma tête, et bien que, soyons honnête, je ne m'y entraine pas au jour le jour, j'essaye malgré tout de "traiter" un sujet d'actualité ou autre, en essayant de trouver autant des arguments allant au "pour" qu'au "contre".

Et je vous invite en en faire autant, car vous verrez : c'est un véritable exercice de "remise en cause" --- tant de nos convictions que de nos certitudes --- qui s'avère plus que révélateur de la façon dont nous avons tous tendance à "camper sur nos positions" quand bien même celles-ci sont parfois plus que discutables.

Ce genre d'exercice devrait d'autant plus être obligatoire à l'école, dés le plus jeune âge, que nos sociétés "modernes" et supposées "civilisées", nous rendent jour après jour de plus en plus inaptes à la réflexion pour au moins trois raisons :

- le fait d'être submergé quotidiennement d'informations en tout genre

- le fait de vivre de plus en plus "vite"

- le fait d'être sollicité à faire des choix sans véritable raisonnement

De fait, les moyens de communication s'étant multipliés depuis l'avénement du téléphone portable et des réseaux sociaux : l'information, qu'elle soit légère ou très sérieuse, personnelle ou publique, digne d'intérêt ou non, est désormais de PARTOUT et quasiment en TEMPS réel !

La conséquence première, c'est que non seulement on est "submergé" d'informations en tout genre, en permanence, mais qu'en plus ces informations sont le plus souvent au mieux contradictoires et/ou incomplètes, au pire, carrément fausses !

Mais en plus, elles circulent tellement "vite" d'un média à un autre, d'un humain à un autre et d'un bout du monde à l'autre, que d'une certaine façon c'est comme si un essaim d'abeilles "bourdonnait" sans cesse autour de nos têtes, sans jamais nous laisser le loisir de pouvoir réfléchir à tête "reposée" !

Par conséquent, plus ce "mouvement" s'accélère et moins les humains ont tendance à prendre le temps de se "poser" pour réfléchir vraiment ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce ne sont pas les médias en tous genres, à commencer par la télévision ou Internet, qui viendront inverser la tendance, puisque pour eux seuls compte désormais le "scoop" et le "sensationnalisme" à tout prix, ainsi que la réaction "à chaud" et fortement influencée des télespectateurs !

Et pour cause, puisque désormais on ne cesse de solliciter ces derniers, les télespectateurs, pour qu'ils donnent leur avis "à chaud", en "direct", soit via Twitter ou FesseBouc, pour ne citer que ces deux là, ou encore en répondant à "La question du jour" via des réponses "fermées" n'amenant à aucune réflexion préalable !

Autant dire que dans le monde qui est devenu le nôtre, dans les pays dits "civilisés", il devient de plus en plus difficile d'espérer de la part des humains qui le composent, que ceux-ci prennent la peine de "déconnecter" du "bourdonnement" général, pour ne serait-ce que tenter de se "poser" de temps à autre, afin de réfléchir vraiment et consciemment à des convictions, des certitudes et des choix qui "façonneront" pourtant, d'une façon ou d'une autre, l'avenir de notre monde...

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